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Article
09 déc 2019
Mardi 5 décembre, l’Inra, l’Université Clermont-Auvergne et VetAgro Sup étaient réunis à Aurillac, au sein de l’Unité mixte de recherche (UMR) Fromage pour signer la convention de partenariat qui scelle la triple tutelle du laboratoire.
Communiqué de presse
05 déc 2019
Pour informer leurs congénères de leur état physiologique, les campagnols utilisent le marquage odorant. Des chercheurs de l’Inra, de l’Institut Pasteur de Lille et d’ALLICE viennent d’identifier les signaux chimiques émis par les deux sexes, à partir d’urine et de glandes abdominales. Leurs résultats, parus dans Scientific reports le 5 décembre 2019, montrent que les composés émis par l’urine et les glandes abdominales sont différents et que leur production dépend du sexe mais surtout de la période de l’année. Ces travaux permettent d’envisager le développement de nouvelles stratégies de lutte plus respectueuses de l’animal et de l’environnement.
02 déc 2019
Les Saïmiris, petits singes d’Amérique du Sud, sont particulièrement sensibles à la toxoplasmose, une infection parasitaire due à un protozoaire. Une campagne de vaccination de Saïmiris a débuté en septembre 2017 dans cinq parcs zoologiques français : vaccin développé au sein de l'unité mixte de recherche Infectiologie et santé publique (UMR ISP, Inra-Université de Tours), en collaboration avec la société Vaxinano.
28 nov 2019
En déterminant comment s’est disséminé le virus de l’influenza aviaire hautement pathogène, les chercheurs du laboratoire Interactions Hôtes Agents Pathogènes (INRA-ENVT) ont élaboré des cartes de risques afin d’optimiser la surveillance et la prévention dans les zones à risques.
27 nov 2019
Des chercheurs du CNRS, de l’Inra et de l’Institut de l’abeille (ITSAP) viennent de montrer que des résidus de ces insecticides, notamment l’imidaclopride, restent détectables dans le nectar de colza de 48 % des parcelles étudiées, avec d’importantes variations selon les années. L’évaluation du risque pour les abeilles, basée sur les modèles et paramètres des agences sanitaires, a montré que 3 années sur 5, jusqu’à 12 % des parcelles présentaient une contamination pouvant entrainer la mort de 50 % des abeilles et bourdons les visitant.
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